Notre (sans artifice) confrère "L'Union" relate la suite du combat juridique Conseil Général contre Deom.
Dans cet article, "L'Union" annonce que la justice a donné raison au Cg08, et que Bernard Deom (photo ci-dessous) est condamné aux dépens.
Le tribunal se serait cependant déclaré incompétent, ce qui laisse des possibilités de poursuite à ce feuilleton judiciaire.
Même si B. Huré a Woinic avec lui, il faut reconnaître que B. Deom a également une bonne tête d'Ardennais, et qu'il ne lâche pas facilement le morceau.
La partie est importante pour lui, car c'est la poursuite de son entreprise qui est en jeu. On sait en effet que le site de Sauville n'est plus suffisant pour recevoir son activité de feux d'artifice.
S'il ne trouve pas un terrain adapté( et les contraintes sont nombreuses en ce domaine), il craint devoir stopper la fabrication.
Ce combat n'est peut-être pas définitivement terminé mais les deux côtés en auront souffert. Bernard Deom en ne pouvant développer comme il le souhaitait son activité, et le Conseil Général qui rajoute une difficulté à la vente bien délicate du domaine des Poursaudes.
A noter que l'on pourrait douter de la réalité de cette affaire, puisque l'excellent site du conseil général des Ardennes ne retrouve aucune réponse à la recherche "Bernard Deom". Cet homme est-il inconnu du Cg08, ou bien ne doit-on publier sur son site que des informations positives?

industrie qui repose en bonne partie sur la sous-traitance automobile met les Ardennes danse peloton de tête pour l'augmentation des chômeurs .
libéral.
d'octobre 2008, il revient une nouvelle fois sur le maintien du 3ème génie à Charleville, en déclarant que l'état a été convaincu par "la pertinence de nos arguments" pour prendre sa décision . L'éditorial du même journal va plus loin en écrivant que" seuls les efforts de diplomatie économico-militaire et les propositions de soutien financier avancées par le Conseil général des Ardennes ont sauvé le"3" des effets de la restructuration de la carte militaire et de l'oubli auxquels il semblait condamné ."
La crise économique et financière aura un impact "dans les mois qui viennent sur la croissance, sur le chômage, sur le pouvoir d'achat" des Français. "Dire la vérité aux Français, a expliqué le chef de l'Etat, c'est leur dire que la crise n'est pas finie, que ses conséquences seront durables, que la France est trop engagée dans l'économie mondiale pour que l'on puisse penser un instant qu'elle pourrait être à l'abri des événements qui sont en train ni plus ni moins que de bouleverser le monde."