Publié le par Cartooning for Peace
Le Hirak, mouvement populaire de contestation né en février 2019 pour mettre fin au règne d’Abdelaziz Bouteflika, souffle ses deux bougies et rappelle qu’il ne s’est pas essoufflé, malgré la pandémie. Les algériens ont défilé dans la rue ces derniers jours pour appeler au démantèlement d’un système politique autoritaire et corrompu. Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a tenté de calmer la colère par un remaniement gouvernemental et la libération, le 18 février dernier, d’une cinquantaine d’opposants, parmi lesquels le journaliste Khaled Drareni.