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plan social

  • Michelin supprime 2300 emplois mais pas le dividende des actionnaires

    Extraits de l'article de Bastamag publié le 07.01.2021

    Pour satisfaire les exigences des actionnaires, Michelin annonce vouloir supprimer 2300 emplois en trois ans. Elle rejoint ainsi d’autres membres du CAC40, parmi lesquels Danone, Sanofi ou Total qui suppriment des emplois alors qu’elles versent des dividendes et profitent de l’argent public.

    En lieu et place des traditionnels vœux de nouvelle année, les salariés de Michelin ont appris que leur direction souhaitait supprimer 2300 emplois sur trois ans : 1200 dans les activités industrielles, et 1100 dans les activités tertiaires du groupe. « Il s’agit de l’un des plus grands plans sociaux qu’ait lancé l’entreprise alors que les usines tournent à plein régime et que le groupe fait 1,7 milliard d’euros de bénéfice », a réagi avec colère et surprise Jérôme Lorton, délégué syndical central Sud chez Michelin et cité par Le Monde.

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  • Pétition contre la fermeture d'Electrolux revin

    Messieurs les dirigeants  et actionnaires d’electrolux


    -La qualité de l'industrie ardennaise n'est-elle pas un atout pour votre groupe ?

    -Jusqu'où va l'appétit de vos actionnaires pour que vous décidiez de sacrifier 400 familles ?

    Votre décision pèse et pèsera longtemps sur nos communes qui s’appauvrissent aux fils de vos plans sociaux et de vos licenciements boursiers.

    Vous n'avez encore démontré à personne, et notamment pas aux salariés, que leur usine fait peser un risque à Electrolux. C'est avec la plus grande indignation que nous vous exprimons notre colère devant le projet de fermeture d'Electrolux Revin."

     

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  • Raguet à Bogny :situation difficile

    Nous vous avons présenté dans L'An Vert la situation difficile de l'entreprise Raguet de Bogny. Au terme des deux mois donnés par le tribunal, les choses ne semblent pas s'arranger.pilon5.jpg

    Des salariés de l'entreprise s'expriment dans "L'Union": « On est mal barrés et le mois d'avril pourrait être source de mauvaises nouvelles », résumait laconiquement un membre du personnel, hier.

    « Le préfet a beau faire le forcing pour éviter tout licenciement dans les Ardennes et que les chiffres de l'emploi soient moins catastrophiques, on sait qu'il faudra bien passer par là d'ici quelques semaines. C'est, malheureusement, la réalité du terrain », regrettait un autre.

    Une décision sera prise au mois d'août, mais dans l'état actuel des choses, la mise en place d'un plan social comprenant des licenciements semble se profiler.