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  • un nouveau dérapage populiste

    Un homme, qui avait été condamné à onze ans de prison pour un viol, et qui a fait l’objet d’une mesure de libération conditionnelle au bout de sept ans d’incarcération, vient d’avouer le meurtre d’une femme dans l’Essonne.

     

    Monsieur Hortefeux, suivant avec zèle les traces populistes de Nicolas Sarkozy, met en cause le juge d’application des peines qui a pris la logo.gifdécision de libération conditionnelle en le rendant quasiment responsable de ce meurtre et en trouvant « inacceptable que ce criminel sexuel ait été remis en liberté ».

    La Ligue des droits de l’Homme considère cette exploitation politicienne de la douleur et de la colère comme d’autant plus scandaleuse que le ministre de l’Intérieur ne peut ignorer, du moins l’espère-t-on, que le taux de récidive est cinq fois plus élevé chez les condamnés qui ont subi en prison la totalité de leur peine que chez ceux ayant fait l’objet d’une libération conditionnelle. La vérité est que la libération conditionnelle sauve des vies chaque année, et tous les professionnels le savent. Certes, pas dans ce cas précis, mais il n’y a aucune solution qui assure 100 % de réussite. Faire croire le contraire, c’est prendre les citoyens pour des imbéciles.

    La justice, les victimes des infractions, les justiciables méritent mieux que cette petite musique manipulatrice. Qu’il parle des criminels ou des « Auvergnats », Brice Hortefeux remplit toujours la même mission : cultiver les « valeurs communes » avec l’électorat qui a donné à Nicolas Sarkozy la majorité absolue en 2007. Et tout le reste n’est que mauvaise littérature.

    Communiqué de la LDH, à Paris, le 1er octobre 2009

  • commerce et artisanat

    La communauté de communes (2C2A) met en place une nouvelle tranche de l'Opération de Restructuration de l'Artisanat et du Commerce (ORAC).

     

    Cette opération, soutenue par la Région et l'Etat, a pour but de développer l'activité dans ces deux domaines.

    Quand on connait les projets d'agrandissements et d'implantations sur la zone "Leclerc", on comprend que le commerce et l'artisanat de centre ville doivent être aidés.

    Une précédente ORAC s'est déroulée sur le territoire, et on constate qu'elle ne s'attaque pas à tous les problèmes. Ce sont surtout les plus dynamiques ,ceux qui ont des projets, qui bénéficient de ces aides.

    A Vouziers (et en périphérie) on constate la fermeture de nombreux établissements. Ce qui donne une image négative des centres villes, et diminue l'offre proposée aux consommateurs.

    Les fermetures sont souvent liées à des cessation d'activité pour retraite, à des problèmes de chiffres d'affaire insuffisant, à des offres inadaptées ou mal exploitées. Il n'y a actuellement à Vouziers ni libraire, ni presse, il n'y a plus d'offre en puréiculture.

    La nouvelle ORAC saura-t-elle s'attaquer à ces problèmes et à proposer des solutions?

    L'enjeu est de taille quand on s'apperçoit que même la place Carnot ( le coeur du centre ville) présente des vitrines fermées .

    Voici quelques clichés de la rue Bournizet à son début, qui concentre nombre d'enseignes inoccupées. Cet aspect se retrouve donc sur une centaine de mètres du même secteur.

     

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