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Primaires : Hamon en tête à Vouziers

Le deuxième tour des Primaires de la Gauche a attiré un peu plus de votants ce dimanche au CPR. On a dénombré 216 émargements, soit 42 de plus qu'au premier tour. En comparaison, en 2011 lors des premières élections de ce type, on avait compté 36 votants supplémentaires au deuxième tour, pour un total de  385 bulletins dans l'urne. La participation dépasse donc la moitié de celle de 2011 (c'était juste 50 % au premier tour), mais la mobilisation reste assez modeste.

Au premier tour, les candidats classés à la gauche du PS (Hamon et Montebourg) totalisaient 60 % des voix, Hamon seul au deuxième tour ne retrouve pas ce chiffre. On constate donc un médiocre report des voix de Montebourg, et une mobilisation plus favorable à Valls (qui passe de 63 à 103 suffrages).

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Voici les chiffres officiels pour le bureau de Vouziers :

Votants            216

Blanc                     1

Nul                         1

Exprimés           214

Valls                  103  (48,2 %)

Hamon               111 (51,8 %)

 

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Commentaires

  • Pour la troisième fois en France, une "Primaire" désigne le candidat d'une tendance politique à l'élection présidentielle. Pour la troisième fois, les organisateurs sont satisfaits de l'importance accordée par l'électorat à ce scrutin et de son bon déroulement.

    Le parti politique qui organise sa "primaire" prend tout de même le risque de voir désigner son candidat par des extrémistes. Mais, c'est vrai, ce risque est atténué par le vote de la majorité de ses adhérents.

    François HOLLANDE a été désigné par cette méthode originale en 2012. A peine élu, des commentaires critiques excessifs se sont abattus sur lui, issus de partout, des médias, des opposants et même des "amis".

    Ainsi les "frondeurs" ont contribué à créer ce climat déprimant et à décourager les entrepreneurs à embaucher autant qu'ils l'auraient voulu.

    Le 28 avril, au premier tour, je tirerai les conclusions de tout cela en "frondant".

    Daniel

  • Voila un billet d'aigreur .
    Hollande fut élu sur un programme que les militants PS avaient accepté mais qu'il a jeté dès son élection . MR Gattaz avait promis un million d'emplois contre la baisse des charges . Est ce la faute des frondeurs si celui-ci a préféré prendre les 41 milliards et déclarer que la Chine était un pays libéral au contraire de la France ? les frondeurs ont demandé des contreparties et de revoir l'attribution de cet argent qui a servi plus à rétribuer les actionnaires des grands groupes plutôt que les PME . Tout n'était pas réalisable mais encore il aurait fallu essayer et non renoncer .

  • il y a des mauvais joueurs , ceux qui veulent avoir toujours raison contre tous.

    Ceux qui sont pour les compromis mais à condition que ce soit pour les autres , et bien là le vent à tourné , pour faire l'union il faut le vouloir vraiment , il fallait peux-être y penser avant , imposer sans essayer de convaincre n'est jamais très productif , la démonstration est faite, le passage en force n'est pas une solution.


    Maintenant c'est là qu'il va falloir bien regarder ou sont les personnes de gauche , voir aussi ceux qui vont se ranger derrière l'homme qui n'est ni de gauche , ni de droite mais là dans un tel cas il ne faut pas se réclamer de gauche , cet homme est tout sauf de gauche

  • Il faut-être honnête avec soi-même et se comporter en adulte et citoyen . Est-ce la démocratie que de refuser le résultat des urnes d'un scrutin que son parti a organisé ?
    Le vote utile a trop été utilisé pour les berner . Voyez les dégâts dans l'actualité où les donnés vainqueurs furent balayés par le vote . Convaincre par des actes et non des discours pour être en conformité avec sa conscience .

  • Il y a toujours un profit à tirer des critiques mais, ici, l'exercice est difficile quand les critiqueurs manquent de cohérence. En effet, ceux-ci tirent à boulets rouges sur ceux qui suivent comme des affidés les consignes de leur parti politique et tirent encore sur eux quand ils s'y opposent.

    Personnellement, je l'avoue, il m'arrive de contredire les dirigeants des structures auxquelles j'adhère quand leurs décisions heurtent mes convictions.

    C'est ma liberté et je me garde ce privilège tant que je le pourrais.

    Daniel

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