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  • La place des militant.es de Greenpeace n’est pas en prison !

    Communiqué du réseau "Sortir du nucléaire" du 29 octobre 2019.

    Le 12 octobre 2017, des militant.es de Greenpeace ont pénétré dans la centrale nucléaire de Cattenom (Moselle) et déclenché des feux d’artifice au pied de la piscine d’entreposage. Ils entendaient démontrer ainsi la vulnérabilité de cette installation qui n’est même pas bunkérisée.

    Suite à cette action, huit militant.es et un salarié de Greenpeace ont été jugé.es à Thionville. Sept ont été condamné.es à des peines de prison avec sursis et deux à deux mois de prison ferme. À l’approche de leur procès en appel, qui aura lieu le 30 octobre à Metz, le Réseau “Sortir du nucléaire“ réaffirme son soutien à ces personnes et dénonce les sanctions qui pèsent sur elles.

    Il est révoltant que des militant.es qui ont participé à une action de désobéissance civile pour dénoncer un risque puissent se retrouver en prison. Dans le même temps, un exploitant nucléaire qui pollue au quotidien et met population et travailleurs en danger n’écope que de sanctions dérisoires [1] lorsqu’ils enfreint la loi ! Pire : EDF se permet même de bafouer des demandes de travaux post-Fukushima de l’Autorité de sûreté nucléaire sans encourir aucune sanction [2] !

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