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camps de prisonniers

  • Corée du Nord : les autorités nient les camps, un survivant parle

    Alors que les autorités nient l’existence de ces véritables camps de concentration, Amnesty France reçoit Kim Tae-Jin, ancien prisonnier, pour alerter sur le sort de 200 000 prisonniers oubliés du monde.

    YODOK.jpgLe 15 avril 2012, "Jour du Soleil", la Corée du Nord célèbrera en grande pompe le centième anniversaire de la naissance de Kim II-Sung, fondateur de la République démocratique et populaire de Corée et grand-père de l’actuel dirigeant Kim Jong-Un.
    A cette occasion, AI France recevra Kim Tae-Jin, survivant du camp de prisonniers politiques de Yodok et directeur de l'organisation sud-coréenne "Free the NK Gulag", composée de survivants des camps.
    Kim Tae-Jin témoignera pour la première fois en France du régime d'oppression et de terreur généralisé de la population nord-coréenne, dont les camps sont la pierre angulaire et l'expression la plus inhumaine.

    Lire le témoignage de Kim Tae-Jin et comprendre ce que vivent 200 000 prisonniers

    L’existence de ces camps, connus sous le nom de Kwanliso, est niée par les autorités nord-coréennes. Des images satellites rendues publiques et analysées par AI ainsi que les témoignages des survivants exilés ont révélé au grand jour cette réalité: environ 200 000 hommes, femmes et enfants vivent enfermés dans au moins six camps de prisonniers politiques. A Yodok, 50 000 personnes sont actuellement détenus sans jugement ou à la suite de procès iniques.

    Corée du Nord : pour la fermeture immédiate des camps de prisonniers politiques

    AI a lancé en mai 2011 une campagne internationale visant à faire connaître à l’opinion publique internationale les atrocités perpétuées dans ces camps de concentration au 21ème siècle.
    AI et Free the NK Gulag demandent aux autorités nord-coréennes :

    -la reconnaissance officielle de l’existence de ces camps

    -leur fermeture et la libération immédiate de tous les prisonniers politiques et de leurs familles 

    -des détails précis sur le sort de détenus identifiés.

     

    Lisez la suite sur le site d'Amnesty International