Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Juste pour le plaisir

L’IMAGE DE L’ACTION DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

Quel jugement portez-vous sur l'action de Nicolas Sarkozy en tant que président de la République ?


Enquête IPSOS mars 2010

Sarkozy.gif

Commentaires

  • Ah merde, vous devriez pas crédibiliser ce genre de machine à bourrer le mou, vous, média alternatif (et donc sérieux).

    Tiens, jettez donc un coup d'œil là dessus, les gens.
    http://www.acrimed.org/article3339.html

  • Sérieux, bof, cela reste à prouver.
    Alternatif, d'accord, on est au courant, mais on continue quand même.
    Bourrer le mou, c'est un peu dur comme reproche : il ne faut pas confondre une enquête qui étudie l'état d'esprit de l'opinion à un moment donné et les projections faites sur des événements futurs à partir d'un sondage.

    L'interprétation partisane et la manipulation sont possibles en ce domaine comme pour tout sujet d'information.

    Mais si la popularité de Nicolas Sarkozy est en chute libre, on peut se faire le petit plaisir d'admirer la courge, pardon la courbe.

  • Ne vous inquiétez pas, Mr Sarkozy a encore des personnes pour être satisfaits de lui .. exemple :

    • Lorsqu'on sait que le petit Louis (dernier de Sarkozy) est scolarisé depuis septembre à Dubaï l'article s'éclaire d'un jour nouveau !

    • Pendant que Le gouvernement ratiboise les effectifs des profs, Sarkozy veut imposer une réforme géniale. Il a décidé d'offrir aux expatriés la gratuité des écoles et lycées français de l'étranger. Un cadeau sympa, non ? Sauf qu'il va surtout profiter aux plus aisés, et que l'addition, pour l'Etat, s'annonce carabinée. Ces écoles, très cotées étaient jusqu'à présent payantes. Certains lycées sont des établissements publics, d'autres, privés sous contrat. En tout 160 000 élèves y sont scolarisés, dont 80 000 français. Sous la tutelle du Quai d'Orsay, chaque établissement fixe assez librement ses tarifs et ça atteint des sommets : 5 500 euros l'année à Tokyo, 6 500 à Londres, 15 000 à New York et 17 000 euros -Le record- à San Francisco.

    • Au diable l'avarice ! Pour les expatriés modestes, un système de Bourses plutôt généreux est déjà en place. A New York, par exemple, IL faut gagner moins de 65 000 euros par an -pas vraiment le smic- pour décrocher 4 500 euros d'aide. Environ un quart des élèves français bénéficient d'une bourse. Mais pour Sarko, ce n'était pas assez. Depuis l'an dernier et à la demande express de l'Elysée, l'Etat prend en charge l'intégralité des frais de scolarité Des élèves français de terminale... Quels que soient les revenus des parents. Plus besoin de bourse ! A la rentrée de septembre, ce sera le tour des premières, puis des secondes l'an prochain, et ainsi de suite. " J'aurais pu commencer la gratuité par la maternelle, a expliqué Sarko,


    • Le 20 juin dernier, devant la communauté française d'Athènes. Mais j'ai voulu commencer par l'année la plus chère pour que vous puissiez constater la générosité des pouvoirs publics français." Encore merci ! Mais générosité pour qui ? A Londres, l'une des familles concernées par ce généreux cadeau déclare plus de 2 millions d'euros de revenus annuels. Et deux autres gagnent plus d'un million. Jusqu'alors, une partie du financement était assurée par Des grandes entreprises françaises désireuses d'attirer leurs cadres vers l'étranger. Ces boites, comme Darty ou Auchan, rentrent déjà leur chéquier : pourquoi payer les frais de leurs expat' si l'Etat régale ? Un coût qui fait boum Au Quai d'Orsay, l'Agence française de l'enseignement à l'étranger a simulé Le coût de cette plaisanterie mais s'est bien gardé d'en publier Le résultat. Lequel est tout de même tombé dans les palmes du "Canard". D'ici Dix ans, appliquée du lycée jusqu'au CP (sans parler de la maternelle), la gratuité coûterait à l'Etat la bagatelle de 713 millions d'euros par an !

    • Intenable ! La vraie priorité, c'est l'ouverture de nouveaux établissements, pas la gratuité. Mais pourquoi Nicolas Sarkozy s'est lancé la dedans ? Peut-être parce qu'il se sent personnellement concerné par la question : après avoir été annoncé à New York puis à Londres, petit Louis est finalement inscrit au lycée français de Doha... Et il va falloir payer ! Auditionné par le Sénat à la fin juin, Bernard Kouchner n'a pas nié ces menus "inconvénients". Son cabinet songe d'ailleurs à couper la poire en deux : une gratuité partielle... mais toujours sans conditions de revenus. Sauf que, pour le moment, Sarko n'en veut pas. "Je tiens beaucoup à la gratuité", s'entête-t-il à chaque déclaration à l'étranger. Sans prendre le temps de préciser comment sera financée cette très généreuse gratuité !



    Tout va bien. Surtout pour certains. Il n'y a plus d'argent ?

    Eh oui, les caisses de l'Etat ne sont pas vides pour tout le monde........

Les commentaires sont fermés.