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Dites "33"

Pour éviter la grippe, il est conseillé d'éviter les regroupements.

 

Ce qui est assez difficile quand on est membre d'une compagnie de CRS. Ces représentants de l'ordre ont l'habitude de vivre et de travailler groupés.

La CRS 23 de Charleville revient du Sud-Ouest, où elle a croisé une autre compagnie qui compte dans ses rangs un ou des cas de grippe H1N1.

Notre (de bonne compagnie) confrère "L'Union" relate les faits, et l'inquiètude qui  existe parmi les hommes et leur famille.

Après Charleville... Reims ?
Hier, en fin d'après-midi, on a appris que « plusieurs personnels de la 23 ne se sentaient pas bien et souffraient des maux de tête ».dites33.jpg
L'un d'eux, sur le conseil du médecin de l'administration, est allé faire faire des analyses médicales dont le résultat devrait être connu aujourd'hui.
Pour Jean-Luc Blondel, secrétaire général de la préfecture contacté hier, l'heure n'est pas à la psychose ni à la panique mais à la vigilance. Selon lui, c'était la meilleure solution de ramener les gardiens dans leurs foyers et, le cas échéant, de les soigner au milieu des leurs, en prenant les précautions nécessaires.
Mais, cerise sur le gâteau (régional), la CRS 23 a été relevée à Anglet par la CRS 33 de Reims...

 

On peut penser que les solides gaillards entrainés à des batailles rangées sauront combattre ce virus qui semble actuellement peu virulent.

Notons comme notre quotidien local que la relève est assurée par la CRS 33 de Reims, on reste presque en famille. Mais les hommes de cette compagnie auront au moins un avantage : ils seront surentrainés quand un médecin leur demandera de dire "33".

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