Lors de son discours prononcé hier à Daumeray (Maine-et-Loire), Nicolas Sarkozy a promis une rallonge de 300 millions d'euros pour les aides de la PAC. Pour FNE, ce bonus doit impérativement être utilisé pour les formes d'agriculture les plus favorables à l'environnement, comme l'agriculture biologique.
Pour France Nature Environnement (FNE), par souci d'efficacité, les crédits supplémentaires promis par le Présidents de la République doivent avant tout être destinés :
• à l'augmentation des surfaces en agriculture biologique
• aux prairies permanentes, notamment en zone de montagne
• aux mesures de gestion sur les sites importants pour la qualité de l'eau et la biodiversité, aussi appelées « mesures agroenvironnementales territorialisées »
Pour Jean-Claude Bévillard, chargé des questions agricoles à FNE : « Dans un contexte de budget restreint, la moindre marge doit être utilisée pour aller à l'essentiel : il s'agit de redonner une légitimité aux aides publiques à l'agriculture, en les mettant en cohérence avec les engagements du Grenelle de l'environnement.»
Les annonces officielles sur l'application en France du « bilan de santé » de la PAC sont prévues pour lundi 23 février.
• à l'augmentation des surfaces en agriculture biologique
• aux prairies permanentes, notamment en zone de montagne
• aux mesures de gestion sur les sites importants pour la qualité de l'eau et la biodiversité, aussi appelées « mesures agroenvironnementales territorialisées »
Pour Jean-Claude Bévillard, chargé des questions agricoles à FNE : « Dans un contexte de budget restreint, la moindre marge doit être utilisée pour aller à l'essentiel : il s'agit de redonner une légitimité aux aides publiques à l'agriculture, en les mettant en cohérence avec les engagements du Grenelle de l'environnement.»
Les annonces officielles sur l'application en France du « bilan de santé » de la PAC sont prévues pour lundi 23 février.